les évolutions de mon matériel

Je m’intéresse à la photographie depuis tout petit et depuis à peu près 2 an et demi que j’en fais de manière intensive et que j’expose mes meilleures photos sur un site de partage d’images. Faire de beaux clichés est un idéal que je me suis fixé depuis mon voyage au Québec avec ma famille, où le petit Pentax Optio 33WR de mon père n’était pas spécialement l’appareil adéquat pour restituer toute la splendeur de cette magnifique contrée.
Une fois rentré, à part quelques photos de paysages et de fous de bassans, presque aucune photo ne me convient, sans parler des baleines que le malheureux zoom du Pentax n’a pas réussi à capturer dans sa carte mémoire. Plus tard c’est le temps de mon anniversaire ainsi que celui de noël ; je demande de l’argent afin d’acquérir un appareil photo qui correspondrait plus à mes attentes.
Mon père me montre un Nikon qui lui plaît bien et dont la fiche technique n’est pas comparable à celle l’Optio (ô combien obsolète depuis le temps). Quelques semaines plus tard je rentre à la maison avec un magnifique Nikon Coolpix S10 de 6 millions de pixels et son zoom 38-380 mm qui ne risque pas de laisser s’échapper les baleines que je rencontrerai à l’avenir. Après un voyage d’étude où je remplis mes deux cartes de 1 gigaoctet chacune je rentrai à la maison avec bien quelques clichés très réussis et je me fis bientôt un nom dans mon école quand je leur donnai mes photos. Quelques mois plus tard, après un meeting d’aviation à Bex, bien que rentrant avec plus de 2000 photos je dus admettre qu’une réactivité supérieure et un autofocus plus performant m’auraient bien servi. Au fil d’une recherche sur Internet je déniche le tout nouveau Lumix DMC-FZ18 qui me semble tout indiqué pour moi et les caractéristiques manquantes de mon S10. Au cours d’un nouveau voyage d’étude, j’achetai un magazine Chasseur d’Images dans un kiosque de l’aéroport. En feuilletant les pages je tombai sur un test du FZ18 qui le présentait comme le meilleur bridge de l’année.
Présentant l’appareil tant convoité à mes amis, ils me demandent si je ne ferais pas mieux de m’acheter un reflex numérique, je répond non en présentant mon argument principal ; je ne trouverai jamais un zoom comme sur le FZ18 sur n’importe quel objectif. Je les convaincs mais l’idée a fait son chemin et avisant une publicité du Tamron 18-250mm je commence à me poser des questions.
Apprenant que les reflex numériques ont un coefficient de multiplication de focale mon choix est définitivement arrêté sur le Pentax K10D qui a reçu plusieurs prix et offre des performances exceptionnelles pour le prix qu’il présente. Environ trois mois plus tard je reçois le K10D avec son Pentax smc-DA 18-250mm…


la suite m'est encore inconnue^^

mon Pentax à moi à en ce moment 12349 déclenchements (1/12 de la vie de l'obturateur après 2 mois d'utilisation intensive...)